Portraits des proches de Schopenhauer
![]() |
![]() |
![]() |
Heinrich Floris Schopenhauer, père d'Arthur. Il voulait que son fils devienne commerçant afin de reprendre les rênes de l'entreprise familliale |
Johanna Schopenhauer, mère d'Arthur. Après la mort de son mari, elle organise des soirées mondaines à Weimer et devient un auteur à succès | |
![]() |
||
![]() |
![]() |
|
Adèle Schopenhauer, la soeur du philosophe. Ravagée par la solitude, elle déclara n'avoir "aucun plaisir à vivre." | Johanna et Adèle, par Caroline Bardua (1806). Les deux femmes ont vécu ensemble jusqu'à la mort de Johanna. | |
![]() |
||
![]() |
![]() |
|
Caroline Jagemann, actrice de théatre et amante du duc Charles Auguste. Arthur tomba amoureux de la jeune femme et lui dédia un poème. | Caroline Medon (1802-1882). Actrice berlinoise avec qui Arthur eut pendant dix ans une liaison secrète. | |
![]() |
||
![]() |
![]() |
|
Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832). A la suite de ses échanges avec Goethe qui fréquente le salon de sa mère à Weimer, Schopenhauer publie en 1816 son traité De la vision et des couleurs. | Emmanuel Kant (1724-1804). Schopenhauer dira de Kant qu'il « est peut-être l’esprit le plus original que la nature ait jamais produit. » (Parerga) | |
![]() |
||
![]() |
![]() |
|
Julius Frauenstädt. (1813-1879). Disciple zélé de Schopenhauer qui a joué un rôle impotant dans la diffusion de la philosophie du maître. | Richard Wagner (1813-1883), que Schopenhauer n'a jamais voulu rencontrer, lui dédicace l'Anneau du Nibelung. | |